Acrylic on garden shed, 340 x 210 x 120 cm, Jardin de L'Orée 85, Impasse de L'Écluse, Strasbourg, Fr.
«
PEIGNONS LES ROSES EN NOIR » est un cycle de mini-résidences imaginé
par Mathieu Tremblin, invitant pendant trois mois des artistes à
intervenir dans le jardin de L’Orée et ses environs, en prenant en
compte le rapport écosophique - écologie sociale, mentale et
environnementale - que le tiers-lieu tisse avec le parc urbain, dans la
continuité de la ceinture verte et avec la proximité des jardins
familiaux.
Arzhel Prioul & Mathieu Tremblin, acrylic & stencils, 50 x 35 cm, Impasse de L'Écluse, Strasbourg, Fr.
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PEIGNONS LES ROSES EN NOIR » est un cycle de mini-résidences imaginé
par Mathieu Tremblin, invitant pendant trois mois des artistes à
intervenir dans le jardin de L’Orée et ses environs, en prenant en
compte le rapport écosophique - écologie sociale, mentale et
environnementale - que le tiers-lieu tisse avec le parc urbain, dans la
continuité de la ceinture verte et avec la proximité des jardins
familiaux.
Marker on caution tape, 220 x 5 cm, Jardin de L'Orée 85, Impasse de L'Écluse, Strasbourg, Fr.
«
PEIGNONS LES ROSES EN NOIR » est un cycle de mini-résidences imaginé
par Mathieu Tremblin, invitant pendant trois mois des artistes à
intervenir dans le jardin de L’Orée et ses environs, en prenant en
compte le rapport écosophique - écologie sociale, mentale et
environnementale - que le tiers-lieu tisse avec le parc urbain, dans la
continuité de la ceinture verte et avec la proximité des jardins
familiaux.
Acrylic on paper, 300 x 150 cm, Rue de l'Ain, Strasbourg, Fr.
« PEIGNONS LES ROSES EN NOIR » est un cycle de mini-résidences imaginé par Mathieu Tremblin, invitant pendant trois mois des artistes à intervenir dans le jardin de L’Orée et ses environs, en prenant en compte le rapport écosophique - écologie sociale, mentale et environnementale - que le tiers-lieu tisse avec le parc urbain, dans la continuité de la ceinture verte et avec la proximité des jardins familiaux.
Le bois, corps vivant naturel d’origine végétale, assure chez la
plante le rôle de conduction de la sève brute des racines jusqu’aux
feuilles.
L’exposition WoodWoodWood nous invite à découvrir un ensemble
hétérogène de démarches, de sensibilités et de technicités qui
s’articulent autour du bois comme substance ontologique, matière
première et naturelle. Le bois n’est plus considéré ici comme un simple
matériau, mais comme un agent actif dans la production de sens et un
paradigme esthétique dans la création contemporaine.
Les créatrices et créateurs réuni.e.s au sein de l’exposition
présentent un éventail de relations entre cette matière organique
primordiale et une pluralité de dispositifs et de formes. Installations,
sculptures, photographies et dessins révèlent la mémoire cellulaire du
bois, explorent sa texture politique, captent la fragilité des objets ou
en détournent la fonctionnalité.
WoodWoodWood propose un état des lieux où convergent des
questionnements sociaux, écologiques, économiques et métaphysiques sur
notre enchevêtrement avec le vivant. Ces pratiques, générant des traces,
interrogent les dichotomies substance/forme, durable/éphémère, gestes
ancestraux/expérimentaux, objet/outil et contemplation/action.
Chaque pièce apparaît comme un nœud conceptuel où le bois se
manifeste dans une dimension archéologique, illustrative ou prospective.
Le rôle de soutien mécanique de l’arbre ou de l’arbuste devient alors
témoin vivant des temporalités non-humaines ou vestige d’écosystèmes en
mutation et matériau de construction.
Le bois, sujet trois fois énoncé dans le titre, est un clin d’œil à
la pratique artisanale et artistique comme exorcisme du matériau (cf.
Beetlejuice de Tim Burton).
Tout à fait conforme à la description, connaissant déjà ce produit, je n’ai pas hésité à le recommander. Piquet bois ras.
Par Jean-Pierre M. le 16/09/2020
Tout à fait conforme aux attentes. Solides, un seul piquet a légèrement éclaté lors de l’enfoncement à la masse.
Par Jocelyne B. le 04/02/2021
Emballage pratique pour le déplacement sur le chantier.
Par Jean-Louis R. le 23/02/2021
Parfait. Livraison parfaite. Produit conforme à mes attentes je recommande ce produit de qualité, idéal pour marquer terrain.
Par thierry G. le 13/03/2021
Tout simplement parfait. Livraison express, produit de qualité. Je recommande à 100%.
Par Maylis D. le 31/03/2021
Très bien pour piquets de chantier et pour marquage. Solide et conforme à ma demande.
Par Jean-henri M. le 03/04/2021
Parfait.
Par Hervé T. le 07/12/2022
PARFAIT.
Par Laure B. le 05/01/2023
Conforme à ce que j’attendais.
Par Jean-Michel R. le 01/03/2023
Conforme à la description mais comme tout le prix augmente.
Par Laurent N. le 05/04/2023
Satisfaisant.
Par Georges J. le 11/04/2023
Qualité correcte Prix très raisonnable.
Par Philippe H. le 23/05/2023
Conforme.
Par Pierre C le 12/06/2023
Bon rapport qualité-prix, semble solide (a voir dans le temps).
Par Cedric B le 16/06/2023
Nickel.
Par Acheteur vérifié le 04/10/2023
Comme d’hab !!
Par Frederic S. le 09/07/2024
Travail
du bois grossier, mal fini, mais le bois à l’air réellement très
résistant, j’ai de bons espoirs que ça tienne mieux que ceux que je
faisais en pin traité.
Door hangers, acrylic on cut-out paper, collage, 36 shapes, about 50 x 120 cm each, abandonned hotel, 14 Avenue des Peupliers, Cesson-Sévigné, Fr.
This intervention pastes oversized “do not disturb” signs onto each of the hotel’s room doors. These are scaled-up silhouettes modeled after the classic hotel placard. Painted in blue, red, green, and black, the signs break up the repetitive rhythm of the façade and transform the grid of doors into a kind of visual code.
These shapes reference both the institutional signage of hospitality and its legal undertones—gestures of privacy, refusal, and control. In the context of this now-vacant hotel, they become monuments to absence. The doors signal nothing and no one. The signs no longer serve the living. Instead, they expose the silence of the space. Each placard is a stand-in for a past occupant, a sealed memory.
The materiality matters here. Each piece is hand-cut and painted on paper, a fragile yet deliberate gesture that contrasts with the concrete austerity of the building.